J'ai découvert cette spécialité suisse sur la blogosphère .....et je
dois bien l'avouer, c'est leur drôle de nom qui m'a intriguée ! ! !
Il existe même une Confrérie des Compagnons de la Couille Suisse, dont fait partie Patrick Timsit ....Finalement, le cinéma et le monde du spectacle mènent à tout !
Il faisait nuit quand nous avons mangé ces couques, je n'ai donc pas pu prendre de photo.
Celle ci est empruntée au site de la fameuse confrérie .
Contrairement à la photo, les miennes étaient bien rondes et gonflées........
Mon marché
Pâte briochée :
500 g de farine
2 œufs
50 g de beurre
1 sachet de levure boulangère
1/2 verre d'eau
1 CS de sucre
Cuisson :
eau et sel
Service :
beurre fondu
cassonade
Faire juste fondre le beurre, sans le chauffer, au micro-ondes.
Verser la farine dans un saladier.
Délayer la levure avec un peu d'eau tiède et 1 CS de sucre
Creuser un puits et y verser les œufs battus en omelette.
Incorporer le beurre.
Former une boule à laisser lever près d'une source de chaleur environ 1 heure.
Dégazer la pâte et confectionner des boules bien rondes et uniformes (important pour le résultat visuel ! !) de la taille d'une balle de ping-pong.
Les plonger dans l'eau bouillante salée pendant 3 à 4 minutes.
Les retourner et prolonger la cuisson d'1 à 2 minutes.
Les couques doivent bien gonflées et dodues. C'est signe qu'elles sont cuites.
Si elles sont rabougries, poursuivre la cuisson
Égoutter et tremper aussitôt dans du beurre fondu.
Saupoudrer généreusement de cassonade.
Servir de suite.
Les restes peuvent être réchauffés le lendemain dans une poêle beurrée et servis saupoudrés de sucre ou pourquoi pas nappés de confiture, de caramel au beurre salé, de miel ou de chocolat fondu
Ces beignets " du pauvre " m'ont bien plu.
Ils ont l'avantage d'éviter le bain de friture et les odeurs qui l'accompagnent.
Je les ai appréciés réchauffés le lendemain également.
Je les avais laissés entiers mais ont pourrait les tailler en tranches pour les faire dorer à la poêle......
Ils ont convaincu les septiques qui pensaient " que ça serait sec et pas bon " (sic ! !....)
A refaire pour un goûter d'hiver au coin du feu..........
Il existe même une Confrérie des Compagnons de la Couille Suisse, dont fait partie Patrick Timsit ....Finalement, le cinéma et le monde du spectacle mènent à tout !
Il faisait nuit quand nous avons mangé ces couques, je n'ai donc pas pu prendre de photo.
Celle ci est empruntée au site de la fameuse confrérie .
Contrairement à la photo, les miennes étaient bien rondes et gonflées........
Mon marché
Pâte briochée :
500 g de farine
2 œufs
50 g de beurre
1 sachet de levure boulangère
1/2 verre d'eau
1 CS de sucre
Cuisson :
eau et sel
Service :
beurre fondu
cassonade
Faire juste fondre le beurre, sans le chauffer, au micro-ondes.
Verser la farine dans un saladier.
Délayer la levure avec un peu d'eau tiède et 1 CS de sucre
Creuser un puits et y verser les œufs battus en omelette.
Incorporer le beurre.
Former une boule à laisser lever près d'une source de chaleur environ 1 heure.
Dégazer la pâte et confectionner des boules bien rondes et uniformes (important pour le résultat visuel ! !) de la taille d'une balle de ping-pong.
Les plonger dans l'eau bouillante salée pendant 3 à 4 minutes.
Les retourner et prolonger la cuisson d'1 à 2 minutes.
Les couques doivent bien gonflées et dodues. C'est signe qu'elles sont cuites.
Si elles sont rabougries, poursuivre la cuisson
Égoutter et tremper aussitôt dans du beurre fondu.
Saupoudrer généreusement de cassonade.
Servir de suite.
Les restes peuvent être réchauffés le lendemain dans une poêle beurrée et servis saupoudrés de sucre ou pourquoi pas nappés de confiture, de caramel au beurre salé, de miel ou de chocolat fondu
Ces beignets " du pauvre " m'ont bien plu.
Ils ont l'avantage d'éviter le bain de friture et les odeurs qui l'accompagnent.
Je les ai appréciés réchauffés le lendemain également.
Je les avais laissés entiers mais ont pourrait les tailler en tranches pour les faire dorer à la poêle......
Ils ont convaincu les septiques qui pensaient " que ça serait sec et pas bon " (sic ! !....)
A refaire pour un goûter d'hiver au coin du feu..........
Bonjour et merci de reprendre cette recette sur votre blog.
RépondreSupprimerJuste une petite remarque. La recette a été importée en Belgique par les soldats d'une garnison suisse stationnée dans le Nord mais, depuis, on peut dire que c'est une recette belge car, sous cette forme et cette appellation, on ne la retrouve plkus que dans le Hainaut belge.
N'oubliez pas de visiter notre page Facebook.
Vous y retrouverez plein d'infos, des photos et le compte-rendu de nos facéties.
Bonne continuation
Guy Dewier
https://www.facebook.com/groups/lacouilledesuisse/
Bonjour. Vous n'avez pas les droits sur cette photo. Elle m'appartient
RépondreSupprimerexcusez moi Badaboum, je précise dans le post qu'elle n'est pas à moi, mais que je l'ai empruntée au site de la confrérie. si vous le souhaitez, je la retirerai
SupprimerBonjour, chez moi à Charleroi, on les fait différemment, une pâte à crèpe plus épaisse, sans levure, faire cuire les boules de pâte dans l'eau bouillante, égoutter, mettre dans un plat et y verser de la cassonnade, faire blondir du beurre salé et verser le tout sur la cassonnade, mélanger, manger.
RépondreSupprimerMerci d'avoir partagé la version belge de la recette ! Belle journée, biz
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